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CHRONIQUE


Journaliste et auteur de livres, Stéphane Dugast écrit dans tous les formats, dont ceux dits « courts ». Billet ou chronique, sa plume doit être aiguisée, et son écriture percutante que l’on dispose d’un feuillet – 1500 signes espaces compris – ou moins. 


© DR




Un signe, c’est aussi bien une virgule, un blanc entre deux mots, qu’un guillemet ou un point d’exclamation, et, naturellement, des lettres qui forment des mots, lesquels traduisent une pensée ou proposent une image.


Pour écrire ses billets et ses chroniques, Stéphane s’appuie sur des notes, il s’interroge, il fouille des archives, il consulte plusieurs ouvrages, il envoie des courriels ou il téléphone à ses contacts, il rencontre Monsieur Untel ou Madame Unetelle, il lit la presse, il voyage ou il écoute les gens lui parler. 


La plupart du temps, à la fin, il dépasse allégrement le compte de signes imposé. Alors, en bon artisan des mots, il lui faut raboter, couper, rapiécer, changer et « ripoliner » pour garder ce qui fera l’essence même, voire la magie, d’un court « papier ». 




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